Au commencement était la violence. Violence du premier coup de pinceau porté à la toile vierge, violence des partis-pris du peintre situant dans des décors sommaires des figures grotesques peintes dans une gamme limitée de couleurs agressives, rouge vif, vert acide, jaune criard, rose dur, violence faite à l'héritage pictural, violence d'œuvres qui s'attaquent à l'histoire passée et présente. Ce sont les années 60.
Jean Arrouye
Marseille la nuit, Marseille le jour, vie de bureau, vie sociale, le champion marseillais, Party chez les nantis, paysages marseillais, scènes bibliques... Faits divers.
Jean-Jacques Surian depuis le commencement de son travail par l'exploration de ces thèmes qui se succèdent, se mêlent et s'imposent, crée une œuvre née du réel sans début ni fin.
Olivier Etcheverry