À l’école de Mahmoud Sehili, on apprend puis on essaye de désapprendre les leçons du maître même si les influences persistent dans la technique et au niveau de la palette.
Myriam Ettaïeb qui œuvre aussi dans les aspects architectoniques se démarque pourtant de Sehili pour investir un univers surréalisant qui n’a plus rien à voir avec le réel apparent et ses impressions fugitives et pleines de poésie.
Source : www.renou-art.qc.ca