Né à Paris en 1946
« Je ne suis pas un coloriste, ma palette sableuse, argileuse, ocrée, se limite au minéral.
La forme me concerne moins que l’équilibre des tensions.
Ce que je traque sur le lin, c’est la densité de la matière, l’omniprésence d’un espace qui nous cerne invisiblement d’une transparence souvent opaque, et souligne notre finitude autant qu’il ouvre sur tous les possibles.
Mon rêve : figer la lumière et faire entendre le silence. »
François Cante-Pacos